English style park
The english park was laidout from 1830 onwards by the Champagné family who had just bought the château.
the name of the lanscape painter is "Chatelain". The english park covers 47 hectares, 6 km of walks and contains many interestings features
The french garden
To what one might think, this garden in the french style which perfectly complements the 18th century architecture of the château, was only created in 1930 by the Marquis d'Andigné, second husband of Hélène de Langle, widow of Alain de Champagné.
When comparing the two rows of lime trees which border the garden, one observes thet the trees on the left side (going towards the round pound) are very old - more then 200 years - while those on the right side were not planted until 1930.
The terracing which enabled the right-hand lime trees to be planted, required a large input of soil which came from the swan lake dug out partly for this purpose.
Kitchen garden
Kitchen garden is up to 12000 m2. It was arranged in squares, bordered with paths ans espalier fruit trees.
Kept until 1970, it was transformed and considerably reduced with the aim of cutting the cost of labour it required. The greenhouses were abandoned at that time.
Work on the restoration in 1990's by Louis de Guébriant.
Every years, the third sunday of october, the pumpkins of the garden are sold at "l'automne en fête" great party with hunting, market and animations for familys.
Built into the south perimeter wall, a wall which has been restored, there is an old medieval syle tower with its two loopholes for shooting arrows.
The greenhouses in the kitchen garden
three in number, tey all date from 19th century. They were restored in 1993 and 1994.
The first is a "lean-to" greenhouse against the wall. It was unheated.
The second is a propagation greenhouse which was heated, as were the vinery and the orangery.
The orangery, was built at the end of the 19th century when the first orangery, located near the stables was converted into a house.
Le petit Jardin
Le petit jardin a été aménagé dans une ancienne carrière. Trois escaliers de rocaille permettent d'accéder à la terrasse plantée de Nandina Domestica, palmiers et chênes séculaires. Ils débouchent sur l'« allée des rouliers » que l'on peut suivre à son gré jusqu'au château ou au jardin potager. Le petit jardin est composé de boules de buis taillés, de houx, d'eléagnus et de troènes.
Au printemps, les cognassiers du Japon donnent une jolie couleur rouge puis suivent les rhododendrons. La vue depuis le petit escalier qui remonte à l'allée des rouliers est très belle, fin juillet, alors que la végétation plus sauvage a poussé, les digitales sont nombreuses.
Les éléments architecturaux du parc
Le lavoir
Le lavoir buanderie se trouve sur les bords de l'Oudon, dans un environnement de rhododendrons, près de l'ancien gué qui permettait de franchir la rivière à cheval. Autrefois, la buée - la grande lessive - avait lieu deux ou trois fois par an. Elle occupait une chef laveuse et trois assistantes pendant plusieurs jours.
La buanderie a été restaurée par Louis de Guébriant. Deux cuves étaient utilisées pour la buée, on y mettait le linge à tremper dans l'eau bouillante avec de la cendre de bois pour lessive. L'eau chaude était produite par une chaudière à bois dans un gros chaudron.
La glacière
La glacière du château est isolée par trois portes successives et sa voûte de briques protégée par une épaisse couche de terre. Construit au 19e siècle, ce petit bâtiment a servi de réfrigérateur jusqu'au milieu du 20e siècle. A la belle saison, on y entreposait les produits qu'on voulait tenir au frais sur un plancher situé au niveau de la chambre froide. On stockait dans cette chambre de la glace prélevée dans la rivière au cours de l'hiver ainsi que de la neige. La neige et la glace fondues étaient ensuite évacuées par une canalisation jusqu'à la rivière. La durée de fonctionnement de la glacière dépendant de la quantité de glace et de neige stockées en hiver et de la température extérieure.
La Chapelle
Construction octogonale de la fin du XVIIIe siècle, la décoration actuelle date de 1830. La menuiserie de l'autre côté est presque identique, seule une demi-tourelle rajoutée en 1830 les diffèrent.
L'aménagement de la chapelle a été réalisé par Guillaume de Champagné Giffard, qui acheta le château en 1828. Il est représenté sur les deux vitraux identiques avec sa femme : Adélaïde de Bonneval. On peut y voir leurs armes et en dessous, la devise des Champagné "Mori Malo Quam Foedari" que l'on peut traduire par "Mieux vaut mourir que trahir".
Une mosaïque jaune et bleue orne le sol portant les hermines de Bretagne des Champagné et les fleurs de Lys, symbole de la royauté française, nous sommes ici au commencement des marches de Bretagne.
La chapelle contient une collection impressionnante de reliques, plus de 1000 et une soutane portée par le pape Pie IX.
Dans les 4 tourelles, les vitraux désignent chacun des quatre évangélistes Saint-Luc, Saint-Matthieu, Saint-Jean et saint Marc.
Les 2 chapelles autour de l'autel sont des chapelles funéraires puisque trois personnes y sont enterrées : Amicie de la Grange qui était la mère d'Alain de Champagné avec son fils Juhel, mort à 3 ans ainsi que François, l'oncle de l'actuel propriétaire, décédé au soir de sa naissance en 1949.
La chapelle est aussi dédiée à la Vierge Marie, partout des couronnes avec un A et un M entrelacés, pour Avé Maria. La grande vierge à l'enfant dans la demi tourelle au dessus de l'autel est éclairée naturellement par un carreau dans la toiture. Enfin, la chapelle est consacrée, on y célèbre la messe plusieurs fois par an.
Le fournil et le pigeonnier
Entre les écuries et le château, on trouve le fournil avec un grand four à pain. Un pigeonnier appareillé de briques et aux ouvertures encadrées de tuffeau s'élève au milieu de la cour tandis qu'un bûcher se situe à droite ; c'est là qu'étaient stockées les bûches pour approvisionner les nombreuses cheminées du château. Le bâtiment côté gauche est une maison d'habitation. Au fond se trouvent les chenils des chiens de chasse du maître de maison : des springers spaniel. Le grand pigeonnier n'accueille plus de pigeons mais est habité par de jolies chouettes effraies qui y font des petits tous les ans. Les effraies sont ainsi appelées car elles émettent des cris un peu effrayants la nuit. Ce sont pourtant des animaux parfaitement inoffensifs et comme les chats, elles capturent un grand nombre de souris.
Les deux ponts sur l'Oudon
Deux ponts franchissent le cours principal de l'Oudon et le canal de dérivation des eaux du moulin situé à l'extrémité du parc. Ces ponts sont contemporains du château. Les rambardes de protection ont été refaites en 1993 à l'identique du modèle de 1770. Du premier pont, le visiteur peut apercevoir le vieux lavoir de Craon. La vue de ce pont est particulièrement intéressante lorsque l'on est sur l'allée de ceinture côté petit jardin. Pour offrir à ces ponts une solidité suffisante, le Marquis d'Armaillé a dû planter des poteaux de châtaigniers, ils sont en effet construits sur une zone très marécageuse.
Le bassin des Cygnes
Ce bassin a été réalisé en 1930 par le marquis Fortuné d'Andigné dans le prolongement de la route de Renazé-Pouancé. Il a été creusé sans les moyens mécaniques d'aujourd'hui. Toute la terre récupérée en creusant ce bassin a été utilisée pour constituer l'esplanade du jardin à la française. Un pont flottant a été installé sur la rivière pendant toute la durée des travaux et un petit chemin de fer a été aménagé. Les chevaux tiraient des wagonnets pour remonter la terre. Quelques palmipèdes d'ornement animent la pièce d'eau qui est aussi appréciée par des colverts qui viennent se nourrir aux frais des propriétaires ! Carpes, brèmes, sandres, brochets peuplent le bassin, les personnes qui viennent en chambre d'hôte peuvent tenter leur chance. Les plus belles pièces sont remises à l'eau.
Bel-Air
Les entrées du parc de Craon sont l'œuvre de l'architecte angevin Édouard Moll (1797-1876). Il dessine la grille en fer forgé à deux vantaux ainsi que la conciergerie, route de Laval, en 1840. Le dessin des spirales de la grille symboliserait la double filiation du domaine avec son château néoclassique et son parc à l'anglaise. En 1843, commencent les travaux de la seconde entrée de Bel-Air, place Saint-Nicolas, dans l'axe de la route de Nantes. Les pavillons de Bel-Air copient la disposition de la conciergerie de la route de Laval et encadrent une grille en fer forgé sur une largeur de 14 mètres.
Plan du parc

1 The Castle
2 The French garden
3 The bakery
4 The ice house
5 The wash house and laundry
6 The most beautiful oak tree in the park
7 The small garden
8 The two bridges over the river “Oudon”
9 The swan pond
10 The vegetable garden
11 The greenhouses and orangery of the kitchen garden
12 The former stables
13 Watering place of the spawning ground
14 The forestry